Utilisation d'invertébrés aquatiques pour la surveillance des milieux aquatiques
Abstract
L’eau peut abriter de nombreux pathogènes pour l’Homme, incluant les virus, les bactéries, mais également les parasites. C’est le cas notamment pour des protozoaires tels que Cryptosporidium spp. et Toxoplasma gondii, clairement identifiés comme des priorités de santé publique. La détection de protozoaires est difficile. D’une part, elle nécessite la filtration de grands volumes d’eau. D’autre part, on ne sait pas obtenir des résultats suffisamment fiables et robustes dans un contexte de surveillance. De par leur capacité de filtration et/ou leur rôle dans le transfert au sein des réseaux trophiques, les invertébrés peuvent donc représenter une voie importante de dissémination des oocystes dans les milieux aquatiques. L'étude de faisabilité "inquasan3 est une étape préliminaire indispensable au développement de cette nouvelle démarche.
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