Vers une mesure du potentiel oxydant des particules fines
Abstract
La pollution atmosphérique est complexe et difficilement mesurable dans sa totalité. Une première composante en est celle engendrée notamment par le trafic qui demeure une préoccupation constante. Parmi les approches envisagées, la mesure des concentrations de suie est souvent citée car elle donne une bonne indication sur les émissions liées au trafic automobile (diesel). Outre les automobiles, il existe d’autres sources de polluants dans l’atmosphère de natures et d’origines diverses. Dans le projet POTOX, il est donc proposé une approche, qui pourrait donc compléter la mesure des suies : la mesure du potentiel oxydant de certaines sources d’aérosols.
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