Internalisation et translocation des nanoparticules dans le poumon
Abstract
Des études épidémiologiques ont montré que l’inhalation, l’accumulation et la rétention dans le poumon de particules inhalées ont un impact sur le déclenchement ou l’aggravation de maladies pulmonaires ou cardiovasculaires. Toutefois, il est difficile d’expliquer comment la présence de particules dans le poumon peut entrainer des effets néfastes sur des organes à distance, comme le coeur, qui n’est pas en contact direct avec l’air inhalé. Une hypothèse, parmi d’autres, est que des particules, une fois dans le poumon, pourraient passer dans la circulation sanguine pour atteindre des organes à distance de celui‐ci. On parle alors de translocation. Si cette hypothèse se révèle correcte, l’effet pourrait être encore plus important pour les particules nanométriques en raison de leur taille encore plus réduite.
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