L’abrasion de nanomatériaux
Abstract
On soupçonne que certains nanomatériaux, lorsqu’ils sont soumis à une sollicitation mécanique ou aux intempéries, émettent des nanoparticules dans l’environnement, avec pour conséquences des risques sanitaires non encore évalués. Des premiers travaux de l’Ineris ont mis en évidence différents processus d’altération. Le projet Nano‐Data élargit la démarche ; il porte sur un ensemble de matériaux actuellement utilisés et contenant des nanoparticules. Certains d’entre eux sont mis en oeuvre en air intérieur (ex. céramiques et peintures dépolluantes dopées au dioxyde de titane) et d’autres à l’extérieur des bâtiments (ex. lasures dopées au dioxyde de cérium).
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